L’histoire des venellois racontée par des venellois

6 juillet 2011 par J. REVY | 3 Commentaires | 1 341 vues

Voici, raconté par un témoin, un épisode de la dernière guerre à Venelles.


Maurice Plantier par AVEC13770

Madame FINA, évoque Maurice Plantier, son enfance à Venelles, son rôle dans la résistance et les circonstances de sa mort à Venelles, quelques jours avant la libération et l’arrivée des américains. La bande son n’est pas toujours de bonne qualité.

3 Réponses pour “ L’histoire des venellois racontée par des venellois ”

  1. Claude bouillet le 7 juillet 2011 à 19:30

    Pourquoi pas J. REVY ? J’aime ce qui était mon village d’adoption devenu petite ville. Sans avoir la nostalgie de ce qu’était ce village (l’évolution de la société est inévitable), il me semble que tout cet apport d’habitants nouveaux influencés par la société moderne a quelque peu fait oublier l’âme initiale de Venelles qui pourrait être réanimer dans les esprits. La préservation du patrimoine c’est aussi cela, et je sais que des témoins sont encore parmi nous pour raviver la mémoire.

  2. J. REVY le 7 juillet 2011 à 16:38

    Monsieur Bouillet, si vous voulez vous joindre à la (petite) équipe qui travaille sur ce projet, nous vous accueillerons bien volontiers.

  3. Claude bouillet le 7 juillet 2011 à 14:50

    Bravo aux réalisateurs de ce montage et des montages précédents. Bravo entre autres à Christian Gramondi.
    Petite information complémentaire: L’école en arrière plan (derrière Madame Fina) a pris le nom de Maurice Plantier lors de sa réhabilitation en 1974 après plusieurs années d’interruption scolaire. Cela sur la demande insistante de Émilien Guis qui avait usé ses fonds de culottes sur les bancs de cette école, en même temps que son camarade Maurice Plantier
    Elle est certes intéressante cette succession de témoignages de Venellois de générations précédentes. On peut comprendre que l’épisode plein de drames de cette effroyable guerre ait aussi marqué la mémoire de certains anciens qui n’étaient alors pour beaucoup que des enfants. Certes on ne peut pas occulter ces moments dramatiques! Cependant j’aurais aimé que Venelles soit racontée aussi sous d’autres aspects. J’aurais aimé savoir ce qu’était notre commune encore village dans les années qui ont suivi ces moments douloureux, ou même avant. J’aurais aimé savoir comment vivaient les Venellois en ces temps où une seule école recevait les enfants de Venelles, en ces temps sans leur lieux d’accueil (cantines, centre aérés, crèches, structures d’éducation populaire …) et comment ces enfants se rendaient à l’école souvent très loin de chez eux. J’aurais aimé connaître comment fonctionnait notre ancienne mairie dans la « Grand rue » à Venelles le Haut. J’aurais aimé savoir où et comment les Venellois s’approvisionnaient en eau, comment et dans quel lavoir ils lavaient leur linge. J’aurais aimé savoir quels étaient leurs loisirs quand le petit écran n’existait pas et les élus pas encore obnubilés par la vidéo surveillance. Il doit bien y avoir quelques témoins encore parmi nous pour nous raconter tout cela.
    Christian, je sais que vous avez plein de ces anecdotes à nous raconter. Faites en nous profiter.